Partout dans la ville, les soldes s’agrippent aux sacs à mains. Sur des affiches toujours plus grandes, les enseignes nous souhaitent une Bonne Année. Je marche mais ne sais plus quoi faire des vœux. Je n’arrive pas à m’ôter cette image de la vue. Je le revois en boucle, lui, le koala, prisonnier des flammes, sa fourrure à demi-calcinée.