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Après la marche et l’orage, je dois me résoudre à quitter les pliures des chemins, les recoins de feuillages, il faut rentrer. Sur la route, je pense aux élans que les creux et les ouvertures ont éveillés. Ces seuils sont des amorces. Je les aime pour ça, pour ce qu’ils ont d’érotique malgré eux.