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Les corps s’échauffent, les épaules s’agitent dans les vestons, ça cause à n’en plus finir jusqu’à saturer les écrans de meurtrissures. Et tu cherches, dans le décor, à entendre la langue ciselée, active qui parlera d’autre chose que d’un pli au milieu du nombril; tu tends l’oreille et forces l’attention, tu tentes de passer au travers des bruissements qui ressassent la nature du lopin, la longueurs des racines; tu ne sais pas dire ce que tu entends. Lassé du cloaque, tu éteins.